Il ne s’agit ni du proche ni du lointain des paysages, ni du début ni de la fin, les jardins de François Pagé, une chair qui croît des lisières de la toile. En cette éclaircie qui se moque du jour, se noue une idylle de couleurs presque neuves :
Artiste Peintre
Il ne s’agit ni du proche ni du lointain des paysages, ni du début ni de la fin, les jardins de François Pagé, une chair qui croît des lisières de la toile. En cette éclaircie qui se moque du jour, se noue une idylle de couleurs presque neuves :