Comme souvent, les « portraits » de François Pagé me troublent.
Il y a comme quelque chose d’inexorable… comme on ne sait quoi qui s’est passé… et François montre la part « visible »… et combien à partir de cette part visible, tout le reste nous secoue… nous donne l’impression d’être submergés à notre tour par ce que l’on ne sait pas….
Merci François pour ce talent de dessiner une histoire… un destin… autre chose encore.
Jeanne Orient , romancière , L’accident de soi.
Edit l’Harmattan